• Si quelqu’un d’entre vous manque de sagesse, qu’il la demande à Dieu qui donne à tous libéralement et sans faire de reproche, et elle lui sera donnée. Jacques 1.5

     

    Début juin 2013, l’ambassadeur de Suisse auprès de l’OCDE à Paris, a été intercepté par la police au milieu de la nuit, roulant à vive allure, en état d’ébriété. Il a fallu tirer dans les pneus de sa voiture pour le stopper !
    Il peut nous arriver à tous de nous retrouver dans des situations critiques, au sein desquelles nous pouvons ressentir un besoin particulier de sagesse. À l’inverse de la formule « aide-toi et le ciel t’aidera », Jacques nous invite à nous tourner vers le Dieu qu’Il nous présente comme étant :
    - celui qui s’offre à répondre à tous, qui que nous soyons, sans acception de personne.
    - généreux, et ne tenant pas une comptabilité implacable de nos errements !
    - prêt à pardonner à celui qui les reconnaît, lui donnant la possibilité de repartir à zéro, sans tenir compte des erreurs passées.
    N’ayons pas peur de venir fréquemment auprès de ce Dieu miséricordieux qui nous aime et qui demeure prêt à intervenir lorsqu’il nous voit sincèrement dans le besoin et criant à lui.
    C’est une manière d’exercer notre foi, même naissante, et cela honore Dieu.
    Dans quel domaine auriez-vous aujourd’hui besoin de vivre une telle démarche ? Il n’est aucune situation, si désespérée soit-elle, dans laquelle le Dieu vivant ne puisse intervenir.

    Guy Gentizon

     
    Source (Vivre Aujourd'hui)


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  • "Si vous demeurez en moi et que mes paroles demeurent en vous, vous demanderez ce que vous voudrez, et cela sera fait pour vous." Jean 15. 7

    "C'est moi qui vous ai choisis et qui vous ai établis, pour que vous alliez et que vous portiez du fruit et que votre fruit demeure ; pour que tout ce que vous demanderez au Père en mon nom, il vous le donne." Jean 15. 16

     

    L'absolu des affirmations du Seigneur dans ces deux versets me laisser perplexe : on peut donc demander ce qu'on veut, tout ce qu'on veut, et cela sera fait, le Père nous le donnera ! Pourtant, j'ai demandé une meilleure santé et je suis toujours malade ; j'ai demandé davantage d'harmonie dans ma famille et les relations restent tendues ; j'ai demandé une situation financière moins difficile et j'ai toujours de la peine à finir le mois, etc.
    Alors j'ai envie de dire : Seigneur, je ne comprend pas... Je sais bien que tes paroles sont vraies et que ce que tu as promis, tu l'accordes, mais je n'arrive pas concilier l'absence de réponse à mes prières et tes affirmations si radicales d'un exaucement inconditionnel.
    Pour résoudre ce dilemme, je pense d'abord à Jésus : lui qui a été parfaitement obéissant à son Père, qui passait des nuits en prière, a-t-il eu une vie sans difficultés ? A-t-il été riche (voir Luc 9. 58) ? A-t-il toujours été en bons termes avec sa famille (voir Marc 3. 21) ? A-t-il été apprécié par tous (voir Jean 8. 48) ? Etc. Ainsi donc, ses demandes n'étaient sans doute pas de cette teneur.
    Ensuite, je relis le contexte de ces versets. Dans ces dernières paroles à ses disciples, Jésus parle de la communion entre les siens et lui. Cette communion s'exprime en particulier par un verbe : << demeurer >>. Il signifie << entretenir des relations étroites >> avec Jésus, en particulier en obéissant à ses paroles, pour recevoir de lui la capacité de marcher en portant du fruit, c'est-à-dire en montrant les mêmes qualités morales que Jésus. Ce sont les qualités qu'il laisse aux siens avant de partir : sa paix (Jean 14. 27), son amour (Jean 15. 9), sa joie (Jean 15. 11) - les trois premiers aspects du fruit de l'Esprit.
    Alors je comprend mieux ce que j'ai demander : je vais vouloir recevoir la paix de Jésus, l'amour de Jésus, la joie de Jésus. Et la prière par laquelle je les demande est précisément le moyen pour les recevoir et ainsi << demeurer >> en Jésus. Oui, Seigneur, c'est dans ce sens-là que je vais te prier aujourd'hui !

     
    Source (Plaire au Seigneur)


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  • [Manassé] fit outre mesure ce qui est mauvais aux yeux de l'Éternel. 2 Rois 21. 6

    Quand il fut dans la détresse, il implora l'Éternel, son Dieu, et s'humilia... et Manassé reconnu que c'est l'Éternel qui est Dieu. 2 Chroniques 33. 12, 13

     

    Lisons l'Ancien Testament

    Ce roi régna à Jérusalem pendant cinquante-cinq ans. Mais il se conduisit très mal envers Dieu. Il rebâtit les autels païens que son père avait détruits, et osa installer ses idoles dans le temple de Dieu. À plusieurs reprises, Dieu l'avertit, sans résultat. Ce roi entraîna le peuple d'Israël dans sa désobéissance ouverte à Dieu. La Bible nous donne peu de descriptions aussi négatives de la vie d'un souverain. Après les avertissements, Dieu envoya contre lui des ennemis qui le firent prisonnier. À quoi pourrait-on s'attendre après une si longue opposition à Dieu, sinon au jugement ?
    Mais soudain le ton du récit change. “Quand il fut dans la détresse, il implora l'Éternel, son Dieu, et s'humilia beaucoup devant le Dieu de ses pères et le pria ; et il se laissa fléchir par lui, et écouta sa supplication…” Avec miséricorde, Dieu tient compte de la prière de cet homme et de sa repentance. Il se laisse fléchir… Quelle patience !
    L'exemple de Manassé nous encourage tous à avoir recours à Dieu en tout temps. Quel que soit notre passé, tant que nous sommes en vie sur cette terre, il y a de l'espoir pour nous si nous nous repentons. Car Dieu reste le Même (Néhémie 9. 6). S'il a répondu à la prière de Manassé, il ne repoussera pas non plus la nôtre. Tournons-nous vers ce Dieu dont la patience nous touche et nous confond. Au moindre signe de repentir et de retour vers lui, il nous accueillera comme le père du fils rebelle (Luc 15. 20).

     
    Source (La Bonne Semence)


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  • Personne n’est monté au ciel, si ce n’est celui qui est descendu du ciel, le Fils de l’homme. Jean 3.13

     

    « Qu’y a-t-il après, quand nos âmes ont disparu, quand nos cœurs ne battent plus près de ceux qu’on aime ? Quand je m’en irai pour ailleurs ou pour après, j’aurai si peur de n’y trouver que des regrets », chante Yves Duteil.
    Question essentielle que celle de l’au-delà, reflet d’une âme angoissée qui n’a pas encore trouvé la paix.
    – Mais personne n’est revenu de là-haut pour nous dire ce qui s’y passe ! » direz-vous.
    Si ! une personne – et pas n’importe laquelle ! – a quitté le ciel pour venir sur notre terre : le Seigneur Jésus. Il est donc en mesure de nous renseigner avec exactitude. Il a dit à ses disciples :
    Lorsque je m’en serai allé, et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi, afin que là où je suis vous y soyez aussi (Jean 14.3). Par contre, lorsque ceux qui ne lui appartiennent pas lui crieront : – Seigneur, Seigneur, ouvre-nous, il leur répondra : – Je ne vous connais pas (Matthieu 25.11-12).
    Cela semble dur ? Réfléchissons : l’entrée du ciel est ouverte à ceux qui le désirent… tant qu’ils sont sur cette terre. Après, il sera trop tard. Toute la Bible résonne de l’appel de Dieu à se repentir et à venir à son Fils Jésus pour être sauvé. Cette décision appartient à chacun.
    Voulez-vous vivre avec Dieu dès ici-bas et pour l’éternité ? Alors, allez à lui !

    Françoise Lanthier

     
    Source (Vivre Aujourd'hui)


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