• Samedi 15 Octobre 2022

    Une richesse incomparable

    La Parole de Dieu est vivante et efficace. Hébreux 4.12

    En quoi la Parole de Dieu est-elle vivante et efficace, sinon parce qu’elle éclaire notre vie de façon probante ? Pour nous en convaincre, voici quelques images que nous trouvons dans la Bible et qui nous montrent la richesse incomparable de cette Parole. Elle est comme : un trésor, plus précieux que l’or (Psaume 19.11) ; un miroir, qui révèle notre véritable état (Jacques 1.23) ; une lumière, qui éclaire notre chemin (Psaume 119.105) ; un marteau, pour briser notre orgueil (Jérémie 23.29) ; une semence, porteuse de vie nouvelle (Luc 8.11 et 15) ; une pluie, qui fait germer la semence (Ésaïe 55.10-11) ; une nourriture pour notre âme (Matthieu 4.4) ; un feu, qui nous purifie du péché (Jérémie 23.29) ; une épée, victorieuse sur les ruses du diable (Éphésiens 6.11, 17).

    Ces images qui décrivent la Parole de Dieu montrent comment elle agit pour faire d’un pécheur un être nouveau, pardonné et purifié, lui permettant de vivre une vie transformée et de glorifier Dieu.

    Voulez-vous voir cette œuvre divine s’accomplir pleinement dans votre vie ? Soyez convaincu que seule la Parole de Dieu pourra l’accomplir. Votre part, c’est de l’écouter et de la mettre en pratique. (Jacques 1.22)

    Yves Perrier

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    Lecture proposée : Psaume 19, versets 8 à 15.

    Source (Vivre Aujourd'hui)


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  • Vendredi 14 Octobre 2022

    Oublier de vivre

    ... lesquels sont nés, non du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l’homme, mais de Dieu. Jean 1.13

    Le moraliste Jean de la Bruyère (1645-1696) aurait dit : « Il n’y a pour l’homme que trois événements : naître, vivre et mourir. Il ne se sent pas naître, il souffre à mourir et il oublie de vivre. » Il n’a peut-être pas tort, mais il oubliait qu’il y a une naissance qui change le reste. Évidemment, on ne peut rien changer à sa naissance, ni sa réalité, ni le cadre dans lequel nous l’avons vécue : parents, époque et autres conditions. Mais Jésus disait que s’il n’est pas possible de retourner dans le sein de sa mère, il est pourtant possible de naître une nouvelle fois, spirituellement cette fois, par l’action de l’Esprit de Dieu. Cela survient en faveur de celui qui accueille d’un cœur ouvert le Christ, Dieu incarné : À tous ceux qui l’ont accueilli, à ceux qui croient en son nom, il a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu (Jean 1.12).

    C’est l’entrée dans une nouvelle famille, celle même de Dieu ! Fantastique ! Et c’est ce qui change le vivre et le mourir. La vie a désormais un sens et elle est alors pleinement vécue. Certes, celui qui est né de cette manière souffre encore, mais dans les bras d’un consolateur. Sa mort n’est plus une angoissante inconnue. Elle se transforme en entrée en sommeil dans l’attente de la résurrection bienheureuse.

    Cette naissance spirituelle est l’événement par excellence, car c’est lui qui donne sens à la vie et à la mort.

    Richard Doulière

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    Lecture proposée : Évangile selon Jean, chapitre 1, versets 6 à 13.

    Source (Vivre Aujourd'hui)


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  • Que vous sachiez […] quelle est la grandeur surabondante de la puissance [de Dieu]… Il l’a mise en œuvre dans le Christ, en le réveillant d’entre les morts. Éphésiens 1.18-20

     

    Nous risquons toujours de banaliser l’Évangile, de minimiser ce que Dieu peut faire pour nous et en nous. Nous parlons de devenir chrétien comme s’il ne s’agissait que de tourner une nouvelle page et de faire quelques ajustements superficiels à une vie essentiellement païenne.
    Mais non, devenir chrétien, selon le Nouveau Testament, est un évènement si radical qu’aucun mot ne peut lui faire justice à part mort et résurrection – la mort à notre ancienne vie, à notre égocentrisme, et la résurrection à une vie nouvelle d’amour.
    En somme, le même Dieu extraordinairement puissant qui a relevé Jésus de la mort physique peut nous relever de la mort spirituelle, conséquence du péché qui nous habite. Nous savons qu’il peut nous ressusciter parce que nous savons qu’il l’a ressuscité lui, Jésus.
    Notre prière est que vous connaissiez Christ et la puissance de sa résurrection dans votre vie.

    François-Jean Martin

     
    Source (Vivre Aujourd'hui)


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  • Jésus lui dit : Je ne te condamne pas non plus : va, et ne pèche plus. Jean 8.11

     

    Quel beau message et quelle belle promesse contenus dans ces paroles ! Voilà une femme prise en flagrant délit d’adultère qui ne peut se défendre devant ses accusateurs. Ses accusateurs ont la loi de Moïse pour eux. D’après elle, il faut lapider cette femme. Mais les réelles intentions des scribes et pharisiens sont autres. La situation n’est pour eux qu’un prétexte pour éprouver et accuser Jésus. Seulement leur démarche va se retourner contre eux. Jésus, par deux fois, écrit sur la terre. Qu’a-t-il écrit ? Nous ne le savons pas.
    S’adressant à ceux qui continuent de l’interroger, Jésus leur fait une proposition : Que celui de vous qui est sans péché jette la première pierre contre elle. En entendant cela, accusés dans leur conscience, ils se retirent un à un, depuis les plus âgés jusqu’aux derniers. Nous sommes parfois enclins à juger nos semblables en nous référant aux commandements de Dieu. Et notre jugement peut être sévère, sans la moindre compassion.
    Jésus n’est pas venu abolir la loi, mais l’accomplir (Matthieu 5.17). Il demande à cette femme de changer catégoriquement de vie. Elle est PARDONNÉE, mais INVITÉE À NE PLUS PÉCHER.
    Plutôt que de reprocher leur péché aux autres, n’avons-nous pas besoin, comme ces hommes, de nous rappeler la grâce dont Jésus a usé envers cette femme ? Nous en sommes les heureux bénéficiaires jusqu’à aujourd’hui. Et elle nous donne la force de nous détourner du mal.

    Jack Mouyon

     
    Source (Vivre Aujourd'hui)


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  • [Jésus dit :] Ces dix-huit personnes sur qui est tombée la tour de Siloé et qu’elle a tuées, croyez-vous qu’elles aient été plus coupables que tous les autres habitants de Jérusalem ? Luc 13.4

     

    Clément d’Alexandrie écrivait : « Direz-vous au miroir qui vous montre votre laideur que c’est lui qui la cause ? Accuserez-vous le médecin qui vous annonce une maladie de l’avoir fait naître ? »
    De même, accuserons-nous Dieu du malheur que nous vivons ? Dans la douleur, l’homme est tenté d’accuser Dieu d’injustice. En réalité, les maux de ce monde sont les conséquences de nos inconséquences ! Non seulement les hommes se causent du tort les uns les autres. Mais refusant de servir Dieu, ils voudraient que Dieu les serve selon leurs besoins et leurs plaisirs. Ils pensent à Dieu seulement dans le malheur et s’étonnent que la nature n’obéisse pas à leurs caprices.
    À propos de ce drame de la tour de Siloé, Jésus répond à sa propre question : Non, je vous le dis. Mais si vous ne vous repentez, vous périrez tous également. Surprenant, mais mordant de vérité ! Assurément, le vrai drame est de perdre sa vie sans être réconcilié avec son Créateur. Les maux que nous traversons et la mort que nous côtoyons révèlent nos faiblesses et notre profond besoin de Dieu.
    N’accusons pas Dieu, mais choisissons de nous accuser ! Ne soyons pas injustes et amers, reconnaissons nos fautes. Plaçons-nous sous la protection et l’autorité de son Fils.

    Dominique Moreau

     
    Source (Vivre Aujourd'hui)


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