• Le dieu de ce monde a aveuglé leur esprit et les empêche ainsi de voir briller la lumière de la Bonne Nouvelle qui fait resplendir la gloire du Christ. 2 Corinthiens 4.4

     

    Un ancien combattant de la guerre de Crimée se passionna tellement pour les récits de ces évènements qu’il n’avait plus envie de lire d’autres livres. Pourtant, quand sa compagnie eut droit à un temps de repos, comme il était chrétien, il ressortit un jour sa Bible de ses bagages. Mais aucun de ses passages ne trouvait un écho en lui. Il raconte :
    « Elle restait muette pour moi. Je la relisais encore, mais elle ne pénétrait plus en moi, elle ne me parlait plus.
    Un intense désespoir me saisit, non par crainte de la mort, mais parce que j’avais perdu la communion avec Christ. Je me sentais coupé de la source de vie. Sans Christ, la Bible restait morte pour moi. »
    Quelque temps plus tard, hospitalisé à l’hôpital de campagne, quelqu’un lui remit une brochure où la remarque suivante l’interpella : « Ne serait-il pas extraordinaire qu’un jeune homme garde dans sa poche une lettre de son épouse, sans la lire ? Ainsi en est-il si un disciple de Christ n’éprouve plus le besoin ni l’envie de lire la Parole de Dieu. » Notre soldat savait tout cela, mais ce rappel précieux lui rendit la joie de vivre.
    Lisez-vous la Bible avec cette attente d’entendre Dieu, et connaître sa volonté pour vous ?

    Charles Rick

     
    Source (Vivre Aujourd'hui)


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  • Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle création. Les choses anciennes sont passées, voici toutes choses sont devenues nouvelles. 2 Corinthiens 5.17

     

    Un clochard avait été autorisé à dormir au sous-sol d’un immeuble. Il s’y trouvait une vieille harpe déclarée irréparable. Or, dans le silence de la nuit, les locataires entendirent venir jusqu’à eux, une musique merveilleuse. On s’empressa, dès le jour venu, de se rendre auprès de lui pour lui demander comment il avait pu tirer de si belles mélodies d’un vieil instrument irréparable.
    Il répondit simplement : « C’est moi qui ai fabriqué cette harpe. Celui qui a pu la faire peut aussi la réparer ! »
    Peut-être connaissiez-vous cet authentique fait divers. Quelle merveilleuse illustration de la plus glorieuse certitude au cœur qui se sent souillé, détruit par le péché et se lamente de n’être bon qu’à être mis au rebut !
    Oui, il y a de l’espérance. Nous sommes les créatures de Dieu. Et Celui qui nous a faits peut nous refaire. Paul écrit même qu’Il ne se contente pas de nous réparer. Il nous recrée, fait de nous, si nous voulons bien nous abandonner entre ses mains, le résultat d’un nouvel acte créateur.
    Notre entourage peut nous croire irrécupérables, nous tourner le dos, nous condamner avec de bonnes raisons. Dieu ne cesse pas pour autant de nous regarder avec tendresse et de nous implorer de le laisser nous transformer à son image.
    Pour Lui, personne n’est irrécupérable !

    Richard Doulière

     
    Source (Vivre Aujourd'hui)


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  • Le potier doit-il être considéré comme de l’argile pour que l’ouvrage dise de l’ouvrier : il ne m’a point fait ? Pour que le vase dise : il n’a point d’intelligence ? Ésaïe 29.16

     

    L’homme a toujours été tenté de rabaisser Dieu à son niveau. Imbu de lui-même, il ne saisit pas les différences fondamentales qui les séparent l’un de l’autre. Dieu n’a, par exemple, ni début ni fin. Il existe par lui-même. Il se suffit à lui-même. Il n’a ni conseiller, ni personne à qui il doive rendre compte. Il est la sagesse même. Cela signifie que personne ne peut avoir de meilleures pensées que lui. Dieu ne fait aucune erreur. Il n’a rien qu’il ait à regretter parce que ce serait mal fait.
    Parce que l’homme rabaisse Dieu à son niveau, il a la prétention de lui demander des comptes. Il agit comme l’argile qui rabrouerait le potier pour son manque d’intelligence. Dans notre folie, nous en sommes là. Dieu nous a créés homme et femme. Mais certains défendent l’idée que cette identité n’est pas déterminée par le sexe. Il est possible, disent-ils, d’être une autre personne que celle que nous imposent nos gènes. En vérité, le problème de l’homme est qu’il n’accepte pas le fait d’être une créature. Dès lors, il considère chaque limite comme une injustice. Et il crie à l’inégalité.
    Oui, Dieu nous est supérieur ! Que vous le reconnaissiez est le premier pas vers une vie humaine apaisée. Rappelez-vous cette vérité : refuser ce que vous êtes, c’est aussi refuser que Dieu soit Dieu !

    Gilles Georgel

     
    Source (Vivre Aujourd'hui)


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  • Comme des enfants nouveau-nés, désirez ardemment le lait pur de la Parole, afin qu’il vous fasse grandir en vue du salut. 1 Pierre 2.2

     

    La Bible n’est pas un livre ordinaire, elle est la Parole vivifiante de Dieu. Jésus, citant l’Ancien Testament, les apôtres et l’Église déclarent sa divine inspiration. « Tant que le ciel et la terre subsisteront, ni la plus petite lettre de la Loi, ni même un point sur un i n’en seront supprimés jusqu’à ce que tout se réalise (Matthieu 5.18), atteste Jésus. Les Pères de l’Église : Irénée, Cyrille de Jérusalem, Chrysostome, Augustin, Jérôme… proclament la pleine autorité de la Bible. Ainsi : « C’est déchoir évidemment de la foi et faire preuve d’une grande présomption que de négliger quelque chose de ce qui est écrit ou d’introduire quelque chose qui ne soit point écrit… Ce qui est écrit, crois-le ; ce qui n’est pas écrit, ne le cherche pas. » (Athanase 298-373) La Bible est une lettre d’amour de Dieu, une lumière qui éclaire notre sentier, la manne céleste qui nourrit notre âme, une consolation divine dans la détresse. Charles Dickens estime que « la Bible est le meilleur livre qui soit ou sera connu dans le monde ». Et Abraham Lincoln, le président des USA qui a aboli l’esclavage : « La Bible est le meilleur don que Dieu ait jamais fait à l’homme. » Le philosophe Soren Kierkegaard conseille : « Il faut lire la Bible comme un jeune homme lit la lettre de sa bien-aimée ; elle est écrite pour moi. »

    Théophile Hammann

     
    Source (Vivre Aujourd'hui)


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  • Éternel ! Ta bonté atteint jusqu’aux cieux… Combien est précieuse ta bonté, ô Dieu ! Psaume 36.6,8

     

    À la une des médias, la haine et la violence semblent dominer notre monde. La bonté et la douceur paraissent des vertus d’un autre âge, trop discrètes pour susciter l’attention, alors que nous en avons un besoin vital. Pourtant qui n’a pas été encouragé, rafraîchi, réjoui par une manifestation de bonté ou une parole douce et bienveillante ?
    La Bible adresse à tous cette bonne nouvelle que Dieu est Amour ou encore Bonté. Dieu a manifesté sa bonté en Jésus-Christ, en qui nous ne trouvons ni violence, ni haine, ni rejet ou esprit de domination… Bien au contraire Jésus est allé à la rencontre des petits, des éprouvés, des pauvres, des méprisés, des étrangers. Il a invité chacun à goûter combien Dieu est un Père aimant et bon pour ceux qui lui font confiance : L’Éternel est plein de bonté pour ceux qui ont confiance en lui, pour ceux qui se tournent vers lui. (Lamentations de Jérémie 3.25) Dans sa bonté, Dieu nous a envoyé son Fils pour nous libérer de l’esclavage du péché. Il nous invite, nous qui nous sommes si prompts à juger les autres, à reconnaître que le mal est aussi dans notre cœur, afin que nous y renoncions. Dans sa bonté Dieu veut nous sauver de notre vaine manière de vivre et nous réconcilier avec lui. Méprises-tu, nous avertit l’apôtre Paul, les trésors de bonté, de patience et de générosité déployés par Dieu, sans te rendre compte que sa bonté veut t’amener à changer ? (Romains 2.4)

    Bernard Grebille

     
    Source (Vivre Aujourd'hui)


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