• Donne-nous aujourd’hui notre pain quotidien. Matthieu 6.11

     

    On demandait un jour à une petite fille : « Pourquoi Jésus a-t-il enseigné de demander à Dieu notre pain quotidien ? » Sa réponse : « Dieu désire que l’on mange du pain frais tous les jours. »
    Ce n’est pas la réponse qu’aurait faite un théologien. Il aurait donné sans doute une réponse riche en enseignements, mais elle n’aurait pas eu cette merveilleuse fraîcheur…
    Quels enseignements pouvons-nous tirer de la réponse de cette enfant ? Pour fabriquer le pain, le grain était broyé dans un moulin et on le cuisait quotidiennement pour l’avoir frais. En ce temps-là, il était la nourriture principale. Nous, les Français, nous avons la « culture de la baguette ».
    Prier Dieu pour avoir “du pain frais” revient à dire que nous comptons chaque jour sur sa bonté, que nous dépendons de Lui pour tous nos besoins. Ce n’est pas sans rappeler l’épisode de la manne, cette nourriture dispensée par Dieu aux Israélites dans le désert. Tous les matins, chacun ramassait ce qu’il fallait pour sa nourriture et quand venait la chaleur du soleil, cela fondait. (Exode 16. 21) Et Jésus a déclaré : Je suis le pain de vie. (Jean 6. 48) Il avait déjà dit précédemment : Celui qui vient à moi n’aura jamais faim, et celui qui croit en moi n’aura jamais soif. (Jean 6. 35) Allons chaque jour à lui pour nous nourrir de Sa Parole en lisant la Bible. Dans son immense bonté, Dieu désire, avec fidélité, nourrir notre corps, mais aussi notre âme.

    Jack Mouyon

     
    Source (Vivre Aujourd'hui)


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  • N’ayez pas peur… Voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde. Matthieu 28.10,20

     

    Nous voilà arrivés au début d’une année nouvelle. Dieu nous l’accorde dans sa grâce. 2015 se trouve devant nous comme un pays inconnu. Sera-t-elle plus sérieuse et plus douloureuse que celle qui vient de s’écouler ? Les difficultés sont de plus en plus nombreuses dans un monde qui a perdu sa boussole et ne voit pas l’avenir en rose. Nous traverserons peut-être des moments difficiles, atteints par la maladie, le deuil, le chômage, la solitude ou toutes sortes de contrariétés. Pour ma part, je ne perds pas espoir.
    La lecture de ce modeste calendrier nous conduit chaque jour sur les traces de Jésus qui a dit : Tout pouvoir m’a été donné au ciel et sur la terre. Et qui promet : Voici, je suis avec vous tous les jours. (Matthieu 28. 18, 20). Il veut être votre Libérateur, votre Conducteur. Plus encore, il vous invite : Venez à moi, vous tous qui vous fatiguez et qui êtes chargés, et moi, je vous donnerai du repos. Prenez mon joug sur vous, et apprenez de moi, car je suis débonnaire et humble de cœur ; et vous trouverez le repos de vos âmes. Car mon joug est aisé et mon fardeau est léger (Matthieu 11. 28-30). Ces paroles de Jésus ne devraient-elles pas nous encourager ? En parcourant ces feuillets quotidiens, puissiez-vous dire que Jésus-Christ est devenu votre Sauveur et votre Seigneur. Ainsi comme Berger de votre vie, il sera votre sûr appui !

    Albert Nouguier

     
    Source (Vivre Aujourd'hui)


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  • Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé, toi et les tiens. Actes 16.31

     

    Croire, croire, mais qu’est-ce que cela veut dire ? Moody l’illustre par l’histoire suivante :
    J’ai placé mon petit garçon de deux ans sur une table. Je m’en éloignai d’un mètre et je lui dis :
    – Willie, saute !
    – Non, papa, j’ai peur.
    – Je t’attraperai dans mes bras. Regarde-moi et saute !
    L’enfant s’avança au bord de la table, regarda par terre et dit : – J’ai peur.
    Je lui répétais : – Willie, ne t’ai-je pas dit que je t’attraperai dans mes bras ? Alors, regarde-moi dans les yeux et saute ; je t’attraperai.
    Il se prépara pour la troisième fois à sauter, mais au moment décisif, il regarda de nouveau le sol et eut peur. Je l’encourageai encore : – Willie, ne me quitte pas des yeux, ne regarde pas par terre !
    Cette fois, mon enfant sauta dans mes bras. Puis il me dit : – Je peux sauter encore une fois ?
    Il sauta sans hésiter. Je reculai de quelques dizaines de centimètres, mais cela ne l’effraya pas : il avait pris confiance en moi et ne regardait plus par terre.
    Si nous avons pris confiance en Jésus-Christ, nous ne regarderons plus aux obstacles et aux difficultés, mais à son amour et à sa toute-puissance.

    Alfred Kuen

     
    Source (Vivre Aujourd'hui)


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  • Et Dieu dit alors : Que la lumière soit ! Et la lumière fut. Genèse 1.3

     

    Tout a commencé par un flash d’une intensité lumineuse inimaginable. Ce phénomène, appelé big-bang, eut lieu il y a 13,8 milliards d’années d’après les scientifiques. Quelques milliardièmes de milliardièmes de milliardièmes de seconde après, l’Univers avait déjà sa taille actuelle ! Ce fut un événement incroyablement spectaculaire, une dilatation fantastique, fulgurante. Dans cette fraction infinitésimale de temps, l’Univers passe de la taille d’une tête d’épingle à presque sa taille actuelle. Les distances ont été multipliées par 1025 ! Une énergie colossale a été libérée. Tout ceci ressort des observations du télescope spatial Planck lancé par l’Agence spatiale européenne.
    Le télescope est incapable d’observer au-delà du big-bang, mais les premiers mots de la Bible, avec une concision remarquable, nous en dévoile la cause : Au commencement Dieu créa le ciel et la terre (Genèse 1.1). Alors que nous ne pouvons que nous extasier devant ce que les observations scientifiques nous révèlent des tout débuts de l’Univers, comment ne serions-nous pas remplis d’admiration et de respect pour Celui qui en est l’auteur ? Puisse cet émerveillement nous amener à placer notre confiance en Dieu, qui a créé toute chose. Par la foi, nous comprenons que l’univers a été harmonieusement organisé par la parole de Dieu, et qu’ainsi le monde visible tire son origine de l’invisible (Hébreux 11.3).

    Bernard Grebille

     
    Source (Vivre Aujourd'hui)


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  • L’Évangile que je vous ai annoncé, que vous avez reçu, dans lequel vous demeurez fermes, et par lequel aussi vous êtes sauvés. 1 Corinthiens 15.1-2

     

    Il n’est peut-être pas inutile de rappeler que chrétien on le devient. C’est la personne du Christ qui nous fait passer de la religion chrétienne à une vie chrétienne. Tant qu’il n’est pas au cœur de notre vie nous restons encore en deçà de la foi. Mais une fois qu’il remplit notre horizon, tout change.
    L’Évangile, c’est d’abord la compassion de Jésus. Il voit des gens perdus et cela le fait agir. Là où nous ne voyons que des problèmes, il voit des brebis sans berger, des affamés de Dieu, et il se met à les nourrir et à se donner comme le pain de vie.
    Notons ses paroles et leur effet profond sur nous. Les béatitudes, les paraboles, mais aussi ce qu’il dit sur lui-même, sur sa mission, son retour. Qui a jamais parlé comme lui ? Où aller sinon à lui ? Il a les paroles de la vie éternelle.
    Puis, il y a sa mort. Une fatalité ou un don ? Le terminus ou un passage vers une vie autre ? Un fait divers ou l’espérance ? En perte totale ou à notre place ?
    Cependant, tout cela n’aurait aucun sens sans sa résurrection. Le plus improbable des scénarios jamais écrits ? On n’invente pas des histoires ainsi. Mais voilà bien le fondement même de la foi chrétienne. Il est le grand miracle de l’histoire de la race humaine : sur son visage d’homme rayonne la gloire éternelle du Dieu Très-Haut.

    Egbert Egberts

     
    Source (Vivre Aujourd'hui)


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