• Quand vous priez, si vous avez quoi que ce soit contre quelqu’un, pardonnez-lui, pour que votre Père céleste vous pardonne, lui aussi, vos fautes. Marc 11.25

     

    Le refus de pardonner est cause de nombreux troubles physiques et psychiques. Telle personne est si amère qu’elle est devenue inapprochable et perturbe toute sa famille…
    Sous l’occupation nazie, Corrie ten Boom (1892-1983) et sa sœur Betsie ont caché de nombreux juifs à Haarlem (Pays-Bas). Après une dénonciation en 1944, famille et amis sont jetés en prison où le père meurt. Les deux sœurs sont internées à Ravensbrück où Betsie décède. Corrie sera libérée suite à une erreur administrative.
    En 1947, elle prêche à Munich. Un des pires gardiens de Ravensbrück est présent. Alors il lui demande pardon. Après une lutte intense dans la prière, elle lui pardonne au nom de Jésus.
    Quant au dénonciateur, il a été emprisonné. Corrie lui écrira : « Votre dénonciation a causé la mort de mon père, de mon frère, de son fils et de ma sœur […] Je vous ai pardonné en souvenir du pardon et de l’amour de Jésus pour moi. Il est entré dans ma vie et entrera aussi dans la vôtre, si vous lui confessez vos péchés. Sur la croix du calvaire, Jésus a payé votre dette et la mienne. » Voici sa réponse : « J’ai prié : “Jésus, si tu peux mettre dans le cœur de tes disciples un tel amour pour leurs ennemis, il y a un espoir pour moi.” Je lui ai confessé mes fautes et je sais qu’il m’a pardonné. »
    Vous n’arrivez pas à pardonner ? Invoquez Jésus !

    Théophile Hammann

     
    Source (Vivre Aujourd'hui)


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  • Avez-vous des yeux pour ne pas voir, des oreilles pour ne pas entendre ? Marc 8.18

     

    Je suis allée occasionnellement au Musée des Beaux-Arts pour voir des tableaux, des œuvres d’art réalisés par des artistes éminents. Je les ai regardés avec respect et admiration pour le travail que cela représente. Cependant, je n’avais pas beaucoup d’intérêt pour ces tableaux dont je ne connaissais l’auteur que de nom.
    Mais, lorsqu’un jour j’ai vu des tableaux peints par un de nos amis, ce fut différent ! Je voyais la sensibilité de sa personne exprimée dans son œuvre, et je saisissais le message qu’il avait voulu transmettre. Là, examinant les détails, j’ai été émerveillée devant les tableaux de notre ami, Je voulais tout savoir du travail de l’artiste pour mieux comprendre sa pensée…
    De même, un jour, j’ai porté un regard différent sur la Bible, car elle me révélait Celui qui m’a libérée du péché et de la perdition. Tant que je n’avais pas rencontré personnellement Jésus-Christ, la Bible n’avait pas trop d’intérêt pour moi. Je ne la comprenais pas vraiment. Tout a changé le jour où Jésus est entré dans ma vie comme le plus grand ami. Quand j’ai vu les prodiges qu’Il accomplit, mon regard sur lui a été bien différent.
    Pour vous aussi, tout changera à partir du moment où vous aurez découvert qui est vraiment Jésus. Il deviendra alors votre ami le plus précieux.

    Martine Fleck

     
    Source (Vivre Aujourd'hui)


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  • Je t’ai choisi du milieu du peuple juif et des païens, vers lesquels je t’envoie. Actes 26.17

     

    Nous sommes en l’an 60. L’apôtre Paul, injustement accusé par les chefs religieux juifs, est retenu prisonnier à Césarée dans la forteresse du gouverneur romain Festus. Lors d’une visite du roi Agrippa, qui régnait sur le nord de la Palestine, et de son épouse Bérénice, Festus convoque Paul devant eux pour qu’il présente sa défense. Celui-ci raconte alors la vision aveuglante qu’il a eue de Jésus sur le chemin de Damas. Puis il parle de l’appel reçu ce jour-là à témoigner de Christ devant les juifs et les païens : Tu devras leur ouvrir les yeux et les faire passer des ténèbres à la lumière et du pouvoir de Satan à Dieu pour qu’en croyant en moi, ils reçoivent le pardon de leurs péchés et une part d’héritage avec ceux qui appartiennent à Dieu. (Actes 26.18 à 24) Paul doit apporter le message qu’il a reçu de Jésus lui-même aux gens d’humble condition comme aux personnages importants. Et quel message ? Tous devaient changer, se convertir à Dieu et traduire ce changement par des actes. (Actes 26.18 à 24)

    Festus préfère esquiver cette invitation et s’écrie : Tu es fou, Paul ! Ton grand savoir te fait perdre la tête ! (Actes 26.18 à 24)
    Aujourd’hui encore, l’Évangile s’adresse à tous sans distinction… aux petits comme aux grands de ce monde. Nous avons tous besoin de changer, de nous convertir à Dieu et de traduire ce changement concrètement dans notre vie.
    Quel écho ce message trouve-t-il en vous ?

    Bernard Grebille

     
    Source (Vivre Aujourd'hui)


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  • L’Éternel se repentit d’avoir fait l’homme sur la terre et il en fut affligé en son cœur. Genèse 6.6

     

    Il arrive qu’une mère ou un père regrette d’avoir engendré un fils. Parfois, malheureusement en disant : « J’aurais mieux fait de me casser une jambe plutôt que de te mettre au monde ». Mais souvent un autre enfant les console, car il est rare que tous les déçoivent pareillement.
    L’humanité, sur laquelle Dieu penche ses regards à l’époque de notre récit, était composée de créatures dont la méchanceté des uns rivalisait avec celle de leurs voisins. L’homme avait été le chef-d’œuvre de Dieu, le couronnement de sa création. Et voilà que leur plus grand nombre était devenu un ramassis de gens dont l’égoïsme côtoyait la concupiscence et la méchanceté. La pestilence des pensées et actions humaines sous toutes leurs formes provoquait en Dieu une véritable nausée et le rejet. Mais ce rejet était accompagné d’une profonde douleur.
    Jamais Dieu n’a pris plaisir à punir ni à condamner l’humanité. Il a toujours proposé une issue, un moyen de salut pour les individus. Ce n’est qu’à la dernière extrémité qu’il frappe le coupable.
    Ici-même, Dieu cherche, dans la foule impie, l’homme dont le cœur se désole de cette situation épouvantable. Il trouvera Noé et le sauvera.
    La grâce est offerte au coupable qui ressent le poids de sa culpabilité. Êtes-vous l’un d’eux ? Si oui, une arche de salut vous est offerte : Jésus.

    Gérard Peilhon

     
    Source (Vivre Aujourd'hui)


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  • Quiconque donnera à boire même un seul verre d’eau froide… à l’un de ces petits, ne perdra point sa récompense. Matthieu 10.42

     

    Lors de la guerre de Sécession aux États-Unis (19ème siècle), un officier était en mission commandée. Comme il régnait une chaleur torride, il était très assoiffé. Son cheval, rétif, ne lui facilitait pas la tâche ; il ne réussit même pas à mettre pied à terre, ce qui amusa beaucoup les spectateurs. Aucun ne voulut lui remplir sa gourde. « Remplis-la toi-même », lui lança quelqu’un. Piqué au vif, éperonnant sa monture, il fila à toute allure, assoiffé plus encore de prendre sa revanche !
    Deux ans durant, il espérait retrouver son « ennemi » dont il avait bien mémorisé les traits. Sera-ce sur un champ de bataille ou ailleurs ?
    Puis, blessé, il fut hospitalisé. Il eut le temps de réfléchir à son comportement ; progressivement, sa rancune le quitta, car son cœur avait été touché par l’amour de Dieu. Convalescent, il allait de lit en lit, proposer à boire à d’autres blessés. « À boire, pour l’amour de Dieu », criaient certains. À sa surprise, en s’approchant d’un lit, il se retrouva face à face avec son « ennemi ». Était-ce le moment pour lui de se venger ? Mais il perçut une autre voix : « Ne rends pas le mal pour le mal. » Cette dernière voix triompha en lui.
    Le soldat reconnut aussi celui qu’il avait offensé. Sans plus attendre, il confessa son mauvais comportement, précisant que, durant deux ans, lui aussi s’était évertué à retrouver sa trace. Ensemble, ils louèrent Dieu pour son pardon et la réconciliation.

    Charles Rick

     
    Source (Vivre Aujourd'hui)


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