• C’est à un grand prix que vous avez été rachetés ! 1 Corinthiens 7.23

     

    En pleine guerre de Cent Ans, le roi de France Jean le Bon affronte, avec son armée, les Anglais qui dévastent l’Aquitaine et le Languedoc. Mais il est fait prisonnier par le Prince Noir, fils du roi d’Angleterre Édouard III, près de Poitiers le 18 septembre 1351 et se retrouve détenu à Londres. Pour sa libération, il doit s’acquitter d’une rançon énorme, équivalente à 12,5 tonnes d’or. Pour la financer en partie, il crée une nouvelle pièce d’or : le franc à cheval. C’est la première monnaie à porter le nom de « franc ». Elle fait référence à la libération de Jean le Bon qui se proclama « franc » (= libre) à plusieurs reprises. C’est le symbole de la souveraineté restaurée et du redressement du royaume de France.
    C’est aussi une belle illustration de la rançon que Jésus a payée à notre place pour notre libération. Par nature, nous sommes tous prisonniers d’un prince noir, Satan, qui nous lie par nos péchés. Lutter contre lui avec nos propres forces ne peut que nous conduire à la défaite. Mais en Jésus son Fils, qui s’est livré à notre place en sacrifice, Dieu paye notre rançon, nous rachète à grand prix ! En Jésus nous pouvons nous proclamer « francs », libérés de l’emprise du péché et de la mort. Ce n’est pas par des choses périssables, par de l’argent ou de l’or, que vous avez été rachetés de la vaine manière de vivre que vous aviez héritée de vos pères, mais par le sang précieux de Christ, comme d’un agneau sans défaut et sans tache... (1 Pierre 1.18-19)

    Bernard Grebille

     
    Source (Vivre Aujourd'hui)


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  • Jésus dit : « Moi, je suis le chemin. Nul ne vient au Père que par moi. » Jean 14.6

     

    Un “y” ou un “i”, ça compte ! Un jeune homme de 21 ans a commandé son billet sur le web pour Sydney en Australie. Mais il a tapé Sidney au lieu de Sydney. Le pauvre a raté son rendez-vous avec sa fiancée : il a atterri à Sidney aux USA !
    Il est si facile de se tromper de route… C’est vrai aussi pour qui espère aller au ciel après la mort. Certes, il en est qui ne croient pas au ciel ; et d’autres y croient – plus ou moins vaguement. Pourtant, la croyance ne change pas les faits. La vérité est que “le ciel” existe. La Bible l’affirme et nous apprend aussi comment y aller – et non pas comment le “gagner”. L’important est d’en connaître le chemin.
    Or, il n’y a qu’un seul chemin. Ce chemin est une personne, Jésus-Christ. Il arrive qu’un touriste, s’adressant à un guide pour lui demander quel chemin prendre pour visiter tel monument, reçoive comme réponse : « Suivez-moi. Je suis le chemin. »
    C’est cela que Jésus-Christ nous dit : « Je suis le chemin. Nul ne vient au Père (dans le ciel) que par moi. » Alors suivons-Le !

    Pierre Wheeler

     
    Source (Vivre Aujourd'hui)


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  • Mes membres sont meurtris, mes ennemis […] me demandent : « Ton Dieu, où est-il donc ? » Pourquoi donc, ô mon âme, es-tu si abattue, et gémis-tu sur moi ? Mets ton espoir en Dieu ! Je le louerai encore, mon Sauveur… Psaume 42.11

     

    La vie souvent nous secoue et parfois elle est comme un cyclone dévastateur. D’autres fois, elle agit comme l’océan qui monte vague après vague à l’assaut de la falaise. Et même si ces vagues ne sont pas fortes, elles minent la roche et celle-ci finit par s’écrouler. Dans ce cas on peut nous demander, on peut se demander « Où est donc mon Dieu ? »
    L’auteur de ce texte était prisonnier, esclave ou otage loin de chez lui. Et le temps passait, inexorable, sans que sa situation évolue positivement. Dans une vie de couple, les dégâts peuvent être du même ordre, dus à un cyclone ou à des années de grignotage de sa falaise. Alors que je lisais ce texte, j’ai reçu une photo sous-titrée. Elle et sa légende m’ont interpellé : « On a demandé à un couple comment ils ont fait pour rester ensemble 65 années. La femme a répondu : “Nous sommes nés à une époque où, lorsque quelque chose se casse, on le répare, on ne le jette pas.” »
    Dans nos vies, certaines choses ne fonctionnent pas bien, d’autres sont abîmées, voire cassées ! Confessons, changeons, pardonnons, redonnons-nous une chance, 70 fois sept fois (cf. Matthieu 18.22) une chance. Réparons si besoin, ne jetons pas, car heureusement Jésus-Christ, Lui, ne nous jette pas !

    François-Jean Martin

     
    Source (Vivre Aujourd'hui)


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  • L’homme regarde à ce qui frappe les yeux, mais l’Éternel regarde au cœur. 1 Samuel 16.7

     

    Je me promenais dans la rue de mon village lorsqu’une voiture ralentit à ma hauteur. Par la vitre ouverte, la passagère lança : « Oh ! que cette petite est laide ! » Phrase assassine qui a mis en pièces assurance et estime personnelles pour de nombreuses années.
    Le regard des autres est important. Heureusement pour moi que, par la suite, d’autres regards ont patiemment reconstruit mon image. Mais le plus réparateur fut la prise de conscience du regard de Dieu sur moi.
    J’avais quinze ans lorsqu’un prédicateur de l’Évangile me fit découvrir l’amour inconditionnel que Dieu porte à ses créatures :
    Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son fils unique afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle. (Jean 3.16) J’étais, de par ma culture protestante, consciente de l’amour de Dieu en général. Mais là, j’ai découvert que Dieu aime personnellement chaque être humain, aussi la fille qualifiée un jour de “laide”. Quiconque, c’était aussi moi.
    J’ai accepté cet amour et ma vie prit une autre dimension.
    Ce regard d’amour, Dieu ne le réserve pas à une élite, à ceux qui font le bien. Il est pour chacun, pour quiconque, pour moi, pour vous !

    Elfriede Eugène

     
    Source (Vivre Aujourd'hui)


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  • Ruth partit donc et se mit à glaner dans les champs derrière les moissonneurs. Il arriva par hasard qu’elle se trouvait dans un champ de Booz, ce parent d’Élimélek. Ruth 2.3

     

    Le contact pour la visite d’entretien de la pompe à chaleur était au point mort depuis plusieurs jours : désespérant. Puis le coup de fil d’un ami, qui s’enquiert de mon chauffage, me décide à réessayer de joindre le technicien.
    Oh surprise ! Il répond sur son portable, habituellement en répondeur : « Je suis sur l’autoroute à 5 minutes de chez vous suite à un dépannage. Oui, finalement, je passe tout de suite. » Trois minutes plus tard, il est chez moi. Trois quarts d’heure plus tard le contrôle (qui s’avérait indispensable, car une sonde était défectueuse) est terminé.
    Quelle coïncidence dont Dieu seul a le secret ! Et je l’en ai remercié.
    Nos vies ne sont pas livrées au hasard aveugle. Dieu est souverain sur toutes les circonstances de nos existences. Mieux, il les conduit en veillant à notre bien. Ruth l’a éprouvé, elle, la jeune veuve, l’étrangère, celle qui n’avait plus rien. Dieu l’a conduite dans le champ de la seule personne qui pouvait intervenir pour changer sa situation et le cours de sa vie.
    Aucun de nous n’est le jouet du hasard. Dieu nous appelle à nous confier en lui. Et à croire que toutes choses concourent au bien de ceux qui l’aiment. (Romains 8.28)

    Albert Lentz

     
    Source (Vivre Aujourd'hui)


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