• Celui qui dit qu’il demeure en lui (Jésus) doit marcher aussi comme il a marché lui-même. 1 Jean 2.6

     

    En 1915, la popularité de Charlot, le personnage créé à l’écran par Charlie Chaplin, était telle en Amérique qu’il était courant de voir organiser des concours de sosies. Un jour, Charlie Chaplin eut la curiosité de se présenter lui-même à l’une de ces compétitions dans un théâtre de Los Angeles. À sa grande surprise, il ne fut pas primé et mieux encore, pas même sélectionné parmi les finalistes. Lorsque Charlie Chaplin raconta cette anecdote à un reporter, il indiqua ceci : « J’étais tout de même tenté de leur donner des leçons pour qu’ils apprennent à marcher comme Charlot et qu’au moins, cela soit fait correctement ! »
    Comment Jésus a-t-il marché ? Probablement pas les pieds en canard comme Charlot ! La marche de Jésus n’avait rien à voir avec une déambulation bizarre. Sa marche était en parfaite harmonie avec la volonté de Dieu, son Père. Jésus n’a jamais fait un faux pas, ce qui n’est pas notre cas. Pour marcher comme Jésus a marché, il est nécessaire d’être pardonnés de nos écarts coupables et d’être animés du même Esprit que Lui, le Saint-Esprit.
    Reconnaissons donc nos égarements coupables et nous pourrons le suivre, unis par son Esprit. Car Jésus a le pouvoir de pardonner les péchés et de nous transformer à son image, afin que nous lui ressemblions.

    Alain Monclair

     
    Source (Vivre Aujourd'hui)


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  • "En effet, comme, par la désobéissance d'un seul homme, beaucoup ont été constitué pécheurs, de même aussi, par l'obéissance d'un seul, beaucoup seront constitués justes." Romains 5. 19

    "Celui qui n'a pas connu le péché, il l'a fait péché pour nous, afin que nous devenions justice de Dieu en lui." 2 Corinthiens 5. 21

     

    Être justifié devant Dieu et être pardonné par lui ne sont pas des choses identiques. Si un tribunal me pardonne, cela implique que, même si je suis reconnu coupable d'actes répréhensibles, je ne serais pas condamné à cause de ces fautes. Ainsi, grâce au sacrifice de Christ sur la croix, Dieu me pardonne tous mes péchés. C'est suffisant pour échapper à la mort éternelle, mais cela ne l'est pas pour me tenir dans la présence de Dieu. Dieu exige que, non seulement mes fautes soient ôtées, mais aussi que je sois déclaré juste. Si ce même tribunal me déclare juste, cela signifie que le dossier d'accusation ne signale plus d'actes fautifs : le juge me déclare << non coupable >>. La justification accordée par Dieu dépasse de beaucoup cette déclaration de non-culpabilité. En effet, je n'avais aucune justice, mais je peux maintenant déclarer que je suis en Christ, "n'ayant pas ma justice qui vient de la Loi, mais celle qui est par la foi en Christ, la justice qui vient de Dieu, moyennant la foi" (Phil. 3. 9). Christ a toujours été parfaitement juste, et sa justice m'a été attribuée quand je me suis confié en Lui. Dieu regarde Christ et sa perfection, puis me déclare juste parce que je suis vu en Lui, à travers Lui. C'est l'obéissance parfaite de Christ qui me procure la justice dont j'ai besoin pour être déclaré juste devant Dieu. Sa vie d'obéissance l'a amené "jusqu'à la mort de la croix", et son obéissance et sa mort sont la base de ma justification. "Il s'est abaissé lui-même, étant devenu obéissant jusqu'à la mort, et à la mort de la croix" (Phil. 2. 8) : la croix a été le couronnement de son obéissance. C'est à cela que la Bible se réfère lorsqu'elle dit : "Par l'obéissance d'un seul, beaucoup seront constitués justes" (Rom. 5. 19). Il ne reste plus rien devant Dieu qui puisse constituer une barrière pour le pardon de celui qui veut venir à lui. La croix est à la fois la base de notre pardon et celle de notre justification. Dieu ne pouvait pas nous sauver autrement !

     
    Source (Plaire au Seigneur)


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  • La vérité est en Jésus. Éphésiens 4. 21

    Tout le peuple se tenait suspendu à ses lèvres pour l'entendre. Luc 19. 48

    Jamais homme n'a parlé comme cet homme. Jean 7. 46

     

    Qui est Jésus Christ ? Un Juif, un simple charpentier, qui n'a fait que du bien, et qui pourtant a été condamné à mort et crucifié ? Il est indéniable que cet Homme a laissé une empreinte unique dans l'histoire du monde. Pour certains il est un Sage, pour d'autres un Maître, pour d'autres encore, un Prophète. Jésus, venu d'une ville sans importance en Israël, a vécu dans la pauvreté. Il n'a jamais écrit un seul livre ni cherché à s'imposer aux autres. Pourtant il est devenu la personne la plus connue de l'histoire. Beaucoup de gens, aujourd'hui comme autrefois, sont prêts à le suivre, même au prix de leur vie.
    Au cours des siècles, d'innombrables hommes, femmes, enfants, ont reconnu qu'il est bien plus grand qu'un simple maître ou prophète. Ils ont entendu son message et y ont répondu. Ils ont appris à le reconnaître comme vrai Dieu et vrai Homme, parfait en amour et en vérité. Ils ont accepté que lui seul pouvait les délivrer de leur misère morale. Sa vie et sa mort, sa résurrection et son message ont ouvert une nouvelle perspective dans leur vie.
    Tous, nous pouvons apprendre à connaître Jésus Christ. Il nous a aimés. C'est pourquoi il ne nous dit pas simplement ce que nous désirerions entendre, mais plutôt ce qu'il nous est nécessaire d'entendre. Il veut nous sauver, non pas nous condamner. Lisez donc l'évangile, la bonne nouvelle qu'il vous adresse ! Croyez en Jésus Christ.

     
    Source (La Bonne Semence)


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  • Il est réservé aux êtres humains de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement. Hébreux 9.27

     

    La Bible déclare que le jour du jugement dernier viendra, ce jour où tous les peuples de la terre seront rassemblés devant le Fils de Dieu pour rendre compte de leur vie sur terre. Tous se tiendront un jour devant son trône pour entendre le verdict du juste Juge.
    Cette perspective serait terrible si nous ne savions pas que Dieu fait entendre aujourd’hui encore son appel d’amour pour recevoir les pécheurs. Il désire qu’au nom de Jésus, son Fils, qui s’est assis à sa droite dans les hauts lieux, tout genou fléchisse dans les cieux, sur la terre et sous la terre, et que toute langue confesse que Jésus-Christ est Seigneur à la gloire de Dieu le Père. (Philippiens 2.10-11)
    Terrible, elle le sera pour tous ceux qui n’auront pas reçu le témoignage de Dieu au sujet de son Fils. Leur part sera alors la séparation éternelle d’avec Dieu, là où leur ver ne meurt pas et où le feu ne s’éteint pas (Marc 9.48). N’oublions pas que c’est le Seigneur Jésus lui-même qui a prononcé ces paroles solennelles.
    Combien magnifique, au contraire, sera la part de ceux qui auront cru ! Avec Jésus, ils partageront la gloire que le Père lui a donnée ! Changés à son image, ils seront pour toujours auprès de Lui. Pour l’éternité, ils le loueront et l’adoreront.

    Albert Nouguier

     
    Source (Vivre Aujourd'hui)


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  • "Jésus lui dit : Qu'est-il écrit dans la Loi ? Comment lis-tu ? Il répondit : Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur et de toute ton âme, de toute ta force et de toute ta pensée, et ton prochain comme toi-même." Luc 10. 26, 27

     

    Un docteur de la Loi pose au Seigneur une question fondamentale : que faut-il faire pour recevoir la vie éternelle ? Comment Jésus va-t-il répondre ? En se référant aux divers courants de pensées des rabbins de tous les temps ? Non, il renvoie cet homme à la Loi, c'est-à-dire aux Écritures. Pour le Seigneur elles ont une souveraineté absolue, et il entend bien qu'elles aient aussi sur nous une autorité totale. Les commentaires sur la Bible sont utiles, mais nous ne devons jamais les mettre au même niveau que la Parole de Dieu.
    Voici la prise de position vigoureuse d'un homme pour qui l'amour de la Bible n'avait d'égal que l'autorité qu'il lui accordait :
    << J'avoue tout d'abord, qu'il m'est impossible de me considérer comme lié aux anciens, ni de reconnaître leur autorité en aucune façon. Je puis apprendre d'eux, je me laisserai enseigner, avec joie, par chacun d'entre eux, et je suis prêt à reconnaître, avec gratitude, ce qui leur a été donné de Dieu.
    En Luther, je vois une énergie de foi, pour laquelle des millions d'âmes devraient être reconnaissantes envers Dieu, comme je le suis moi-même.
    En Calvin, je découvre une clarté de vue et une soumission à l'autorité de l'Écriture, qui l'ont délivré, lui et ses disciples, plus encore que Luther, des corruptions et des superstitions qui avaient envahi la chrétienté et, par celle-ci, l'esprit de la plupart des saints eux-mêmes. Mais dès qu'on me les présente comme une règle de la vérité, je les rejette avec indignation. Inspiré, ils ne l'étaient nullement, et leurs enseignements ne sont pas la Parole de Dieu. Ce point, je le maintiens de toutes les forces ; je le considère comme la sauvegarde et le guide de l'Église et des saints sous la grâce, dans tous les temps, mais particulièrement de nos jours. Les hommes doués de Dieu, je les respecte quand on me les donne pour tels, me seraient en horreur dès qu'on voudrait, en quelque manière, les substituer à la Parole de Dieu, ou leur attribuer une compétence analogue à la sienne. >> (John Nelson Darby, Bible Treasury, 1858-1859)

     
    Source (Plaire au Seigneur)


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