Laisser aller son imagination : c’est encore là futilité et poursuite du vent. Ecclésiaste 6.9

Par la fenêtre du train, je vois le paysage moutonner à grande vitesse. En accéléré comme pour un clip touristique.
En même temps, je parcours TGV Magazine : cela agrémente un peu mes voyages en train. Un article y attire mon attention. Il est écrit par Olivier, un journaliste au sourire un peu amer. Son accroche : « Et si découvrir notre petite planète était le sens de notre vie ? »
Le jeune passionné a bien raison : il faut découvrir notre « petite planète » en vadrouillant ici et là. J’ai de la tendresse envers cet Olivier. Il ne se contente pas de ce qu’il connaît : il sort de son confort pour découvrir le reste du monde. Mais si c’est ça le sens de la vie, il se dérobe à mesure qu’on croit le saisir. En effet, la terre est ronde…
Et si LE sens était au-delà de notre « petite planète » ? S’il consistait à découvrir Dieu par Jésus-Christ ? Je vous invite à poser avec sérieux cette question à Dieu lui-même en l’appelant au secours et en allant voir « du côté de la Bible ! »
Souriez ! Sans pli amer au coin de la bouche !

Francis Schneider

 
Source (Vivre Aujourd'hui)

Je ferai mes délices de tes commandements, car je les aime. Psaume 119.47

Un père mourant fit appeler son fils à son chevet. Il lui dit : « Mon fils, tu sais combien ta vie irréligieuse m’a attristé. Je sais qu’il ne servirait à rien de te faire des reproches, mais j’aimerais te demander une seule chose : lorsqu’on m’aura porté au cimetière, promets-moi de venir tous les jours te retirer un moment dans cette chambre et là où tu es en ce moment, de prendre cette Bible et d’y lire un chapitre. Seulement pendant une année, 365 jours. Après cela, tu feras ce que tu voudras ! »
Son fils le promit en tenant la main de son père.
Le premier jour après l’enterrement, il est assis à côté du lit où il a vu mourir son père. Il a choisi le psaume le plus court pour le lire. Il fait de même les jours suivants, choisissant toujours les chapitres les plus courts possible. Mais bientôt, il est obligé d’en prendre des plus longs et il passe de plus en plus de temps dans cette chambre. Bien avant que l’année ne se soit écoulée, il y est, non seulement lisant la Bible, mais priant à genoux.
Il a trouvé sa joie dans la Parole de Dieu et sa vie en est transformée.

Alfred Kuen

 
Source (Vivre Aujourd'hui)

L’Éternel descendit pour voir la ville et la tour que bâtissaient les fils des hommes. Genèse 11.5

Vous avez entendu parler de la tour de Babel, cette construction censée atteindre le Ciel. Elle a été interrompue par l’intervention de Dieu qui a brouillé le langage des constructeurs.
En lisant cette histoire, j’aime remplacer son titre « La tour de Babel » par « Le rendez-vous manqué ». Nous voyons les hommes dépenser beaucoup d’énergie pour monter jusqu’à Dieu et pendant ce temps Dieu descend sur terre.
Aujourd’hui encore, de très nombreuses personnes manquent le rendez-vous avec Dieu pour la même raison. De multiples manières, ils cherchent à s’élever vers Dieu, voire le remplacer, ou même prouver qu’il n’existe pas. Bonnes œuvres, vies qu’on veut exemplaires, philosophies, recherche du nirvana…
La nouvelle extraordinaire est que nous n’avons pas besoin de monter au ciel pour chercher Dieu. Il est venu sur cette terre en la personne de Jésus. Si nous regardons sa vie, nous voyons Dieu.
En venant à Jésus, nous rencontrons Dieu et nous découvrons à quel point il est différent de ce que nous imaginions, à quel point il aime chacun d’entre nous.
La distance entre Dieu et l’homme ne peut être comblée par des efforts humains, mais par la démarche de Dieu lui-même venant en la personne de son Fils jusqu’à l’homme perdu.

Elfried Eugène

 
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Conducteurs aveugles ! Qui éliminez le moucheron, et qui avalez le chameau. Matthieu 23.24

Si quelqu’un affirme avoir vu deux trains se croiser sur une voie ferrée unique, vous refuserez son témoignage à cause de l’incohérence des faits. Mais si une personne affirme avoir vu passer un seul train, vous recevrez son récit. Et en sondant ses motivations, vous saurez « que son témoignage est vrai » (Jean 21.24).
Si Jésus-Christ est vraiment Dieu, comme il l’affirme, tous ses miracles s’expliquent à cause de sa puissance. Sa résurrection également : il n’est pas resté dans le tombeau, car son Père a attesté la validité de son sacrifice. En lisant les quatre évangiles, on s’aperçoit que la sagesse hors du commun de Jésus et l’intensité de son amour en action confirment sa nature divine. Les détails qui y sont rapportés appuient la fiabilité et le sérieux du récit.
Pourtant, malgré la cohérence des textes, plusieurs discréditent la foi chrétienne alors qu’ils tolèrent toute une panoplie de philosophies plus que douteuses ! Pourquoi ? Parce que la vérité biblique porte des implications morales. Alors, pour refuser toute entrave, on s’emploie à prétendre le christianisme non crédible ! Quand les sphères intellectuelles de notre société redéfinissent le bien et le mal, j’ai vraiment l’impression que l’on essaye d’affirmer que deux trains peuvent se croiser sur une voie unique…
Soyons vrais et cohérents devant Dieu !

Dominique Moreau

 
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En effet, je n’ai pas honte de l’Évangile de Christ : c’est la puissance de Dieu pour le salut de tout homme qui croit. Romains 1.16

Les 44 marins du Bounty devaient cueillir des plants d’arbres à pain à Tahiti pour les replanter sur l’île de la Jamaïque. Au départ de Tahiti, des marins, dont le quartier-maître Christian Fletcher, se révoltent contre le féroce capitaine William Bligh qu’ils abandonnent, avec dix-huit de ses fidèles, sur une chaloupe en plein océan Pacifique. Puis le Bounty revient à Tahiti. Mais pour échapper à l’impitoyable justice anglaise, Fletcher et quelques mutins, six Tahitiens et des Tahitiennes repartent sur le Bounty à la recherche de l’île de Pitcairn, inhabitée et mal située sur les cartes. Ils y arrivent finalement.
Là, très vite, les choses se gâtent : les mutins s’enivrent, massacrent les Tahitiens mâles et s’entretuent. Alors les femmes construisent un fort pour se protéger. En 1799, John Adams et Ned Young restent seuls avec les femmes et les enfants.
Dans les débris du Bounty, qui avait été brûlé, ils trouvent une Bible. Young la lit, et bouleversé, l’enseigne aux femmes, aux enfants et à Adams, tous illettrés.
En 1808, des Américains redécouvrent l’île et y trouvent une dizaine de Tahitiennes, le double d’enfants éduqués et Adams, tous vivant dans une paix et une joie surnaturelles, sans querelles, et dans la foi en Jésus. La Parole de Dieu avait radicalement changé la vie à Pitcairn.
La Bible est vraiment la parole de vie.

Théophile Hammann

 
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