• Un homme a semé de la bonne semence dans son champ… Matthieu 13.24

     

    Jésus raconte une histoire pour faire comprendre ce qu’est le royaume de Dieu. Ensuite il en donne l’explication à la demande de ses disciples (Voir la lecture proposée : Évangile selon Matthieu, chapitre 13, versets 36 à 43) : Il compare le royaume de Dieu à un champ ouvert auquel l’ennemi a accès. C’est un espace où cohabitent “les bons et les mauvais”. Dans cette parabole, les semences représentent des personnes : la bonne semence représente les fils du royaume, l’ivraie, les fils du malin.
    Les uns ne sont pas dans un champ et les autres dans le champ voisin. Ils vivent mélangés, côte à côte. Et le plus étonnant, c’est, dit Jésus, qu’ils doivent rester côte à côte. Les serviteurs eux, auraient préféré un champ propre : pour cela ils proposaient d’arracher les mauvaises herbes. Mais comment savoir si, ce faisant, ils n’arracheraient pas la pousse de blé au lieu de l’ivraie ? Au début, elles se ressemblent tellement.
    Il serait tentant de ne considérer que ceux qui sont “comme moi”… Cette histoire m’encourage à ne pas poser de jugement définitif sur quelqu’un. Je ne suis pas Dieu pour connaître le devenir d’une personne. Elle m’encourage aussi à vivre au milieu de gens qui ne partagent pas ma foi et à les fréquenter.
    Le tri entre la mauvaise herbe et le blé ne se fera qu’en toute fin de saison, à la moisson.
    Ma responsabilité est de faire en sorte que je sois à ce moment-là tel le blé qui sera amassé dans le grenier.

    Elfriede Eugène

     
    Source (Vivre Aujourd'hui)


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  • Le Seigneur de l’univers va donner sur cette montagne un festin pour tous les peuples […] Il anéantira la mort pour toujours ! Ésaïe 25.6-8

     

    De loin, ce gros rocher se découvre comme une colline qui semble insignifiante.
    Il faut s’en approcher depuis le village de Saint-Sauveur-de-Peyre (Lozère) pour comprendre son importance. Puis faire l’effort de gravir les 74 marches qui conduisent au sommet où une grande croix se détache sur l’immense horizon.
    Là-haut on découvre une vue panoramique à 360° sur tout le département, des volcans du Cantal aux Cévennes.
    Ce lieu illustre cette petite colline de Jérusalem, appelée Golgotha. Là, il y a 2000 ans, le Christ-Jésus, envoyé du Père, a manifesté son incomparable amour, acceptant volontairement le redoutable supplice de la croix. Il est venu ainsi régler la dette de nos fautes, en offrant sa vie sainte en sacrifice, pour nous offrir le pardon et la vie éternelle.
    De loin, son message peut sembler bien insignifiant, aux yeux des “sages ou philosophes” de ce monde. Ainsi il est écrit : La parole de la croix est en effet folie pour ceux qui se perdent, mais pour ceux qui sont en train d’être sauvés…elle est puissance de Dieu. (1 Corinthiens 1.18)
    Mais la parole du Christ crucifié et ressuscité a un effet libérateur : elle nous communique la puissance de Dieu pour croire en sa grâce, avec le courage de renoncer au mal qui nous asservit.

    Reynald Kuffer

     
    Source (Vivre Aujourd'hui)


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  • Nous vous en supplions, au nom du Christ, laissez-vous réconcilier avec Dieu. 2 Corinthiens 5.20

     

    Philippe, vingt-deux ans à peine, était venu dans notre café-bar chrétien en grande souffrance sur tous les plans. Il avait des problèmes judiciaires pour avoir volé un cheval à son patron alors qu’il était palefrenier.
    Ne pouvant supporter sa vie, il s’était jeté dans un cours d’eau pour s’y noyer, mais son instinct de survie fit qu’il ne coula pas. Il s’entailla alors un poignet jusqu’à sectionner des nerfs, mais l’eau trop froide figea son sang dans ses veines. Les pompiers appelés par un passant eurent du mal à le sortir de là. Ils y réussirent en lui offrant une cigarette !
    Nous l’avons hébergé et, progressivement, il s’est détendu. Mais ce n’était pas gagné. Par exemple, lorsqu’on était en voiture, il insultait prêtres et religieuses en soutane.
    Jésus et notre sympathie ont produit chez lui un changement. Nous l’avons accompagné au tribunal pour son procès et expliqué la situation à son avocat qui a demandé la relaxe. Elle lui fut accordée. Sa vie a vraiment changé au fil des mois. Puis il a reconnu que Jésus n’avait pas permis qu’il mette fin à ses jours, car il avait quelque chose de bien meilleur en vue pour lui.
    Vous êtes peut-être dans une situation difficile de laquelle vous ne pensez pas pouvoir vous sortir ? Des chrétiens sont prêts à vous aider.
    Cherchez Jésus-Christ ! Il veut et peut transformer votre vie !

    Bernard Delépine

     
    Source (Vivre Aujourd'hui)


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  • Qu’on ne trouve chez toi personne qui exerce le métier de devin, astrologue, augure, magicien, enchanteur, qui consulte les esprits, dise la bonne aventure ou interroge les morts. Quiconque fait ces choses est en abomination à l’Éternel. Deutéronome 18.10-12

     

    Le soin avec lequel le commandement de Dieu énumère la liste des pratiques occultes surprend. Mais il faut que rien de tout cela ne puisse prétendre échapper à l’interdiction que Dieu en fait. C’est en effet trop important pour n’être pas clair ou complet.
    Pourquoi une telle sévérité ? Parce que derrière ces pratiques se trouvent des puissances maléfiques et trompeuses qui, par le biais des tables tournantes, verres qui se déplacent, lecture d’horoscopes, tentatives de deviner l’avenir ou d’entrer en contact avec les morts, obtiennent une prise sur l’humain et la capacité de le perdre. Ce ne sont pas les morts qui se manifestent, mais des esprits bien au courant de la vie du mort invoqué, donc habiles à se faire passer pour lui, avec toute sorte de séductions.
    La sévérité de Dieu n’a pas d’autre raison que sa volonté de préserver homme ou femme de ce piège mortel, parce qu’Il l’aime et veut, non sa perte, mais son salut.
    Peut-il être trop tard si l’on y a touché ? Je ne pense pas, car Dieu ne veut pas la mort du coupable, mais qu’il se repente et abandonne son péché. Ce n’est pas simple, mais Dieu entend nos prières et peut l’impossible.

    Richard Doulière

     
    Source (Vivre Aujourd'hui)


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  • À qui donc pourrais-je comparer les gens de notre temps ? Matthieu 11.16

     

    Jésus a dit de Jean-Baptiste : Parmi tous les hommes qui sont nés d’une femme, il n’en a paru aucun de plus grand que Jean-Baptiste. Et pourtant, plusieurs ont dit de Jean-Baptiste : Il a un démon. Et de Jésus lui-même, le sauveur du monde, les responsables religieux ont dit : Cet homme ne pense qu’à faire bonne chère et à boire du vin !
    Jésus les a comparés à des enfants qui s’interpellent sur la place publique : Quand nous avons joué de la flûte, vous n’avez pas dansé. Et quand nous avons chanté des airs de deuil, vous ne vous êtes pas lamentés.
    Jésus et Jean-Baptiste n’ont pas été mieux considérés que des chanteurs de rue. Bien des gens de leur époque ont négligé leurs paroles qui venaient de Dieu.
    Plus tard, entendant l’apôtre Paul leur annoncer l’Évangile, les Athéniens n’ont guère fait mieux. Au mot de « résurrection des morts », les uns se moquaient, d’autres déclarèrent : « Nous t’entendrons là-dessus une autre fois. »
    Et aujourd’hui ? Sait-on, à notre époque où la Bible est à la disposition de qui veut la lire, prêter attention à l’enseignement de Jésus-Christ ?
    Oui, que dirait Jésus des gens de notre époque ? Est-ce qu’il les comparerait à des jeunes assis sur la place publique qui laissent passer, sans s’en préoccuper, le plus important de leur vie ?
    Sachons prêter attention à la bonne nouvelle du salut qu’il nous a annoncée !

    Bernard Smagghe

     
    Source (Vivre Aujourd'hui)


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