• "Venez à moi, vous tous qui vous fatiguez et qui êtes chargés, et moi, je vous donnerai du repos. Prenez mon joug sur vous, et apprenez de moi, car je suis débonnaire et humble de cœur ; et vous trouverez le repos de vos âmes. Car mon joug est facile à porter et mon fardeau est léger." Matthieu 11. 28-30

     

    Ces trois impératifs déterminent tout la vie d'un chrétien.

    "Venez"
    Des leaders de toutes espèces cherchent à attirer les hommes après eux. Pour mieux les enrôler, ils leur font des promesses qu'ils sont incapables de tenir.
    Jésus, le Seigneur des seigneurs, nous demande de venir à Lui. Son appel ne comporte pas de restrictions : "Vous tous". Il accompagne son invitation d'une promesse que chacun peut expérimenter, quelles que soient ses circonstances : "Vous trouverez le repos de vos âmes". Quel soulagement de pouvoir lui confier nos troubles, lui apporter notre fatigue, nous décharger de nos fardeaux !

    "Prenez mon joug sur vous"
    Le repos promis n'est pas un état d'inactivité. Après avoir été sauvés, nous découvrons que la foi n'est pas oisive : "Nous sommes son ouvrage, ayant été créés dans le Christ Jésus pour les bonnes œuvres que Dieu a préparées à l'avance, afin que nous marchions en elles" (Eph. 2. 10). Or, Dieu ne confie jamais aux siens des tâches au-dessus de leurs forces. Le service qu'il nous propose est entrepris sous un joug nouveau. En effet, dans la Loi, il était interdit de mettre un bœuf et un âne sous le même joug, car leur différence de constitution les empêchait de labourer ensemble (Deut. 22. 10). Pour nous chrétiens, le Seigneur est là, proche de chacun de nous, pour nous aider dans notre travail : c'est lui qui partage le jour avec nous, qui marche à notre pas.

    "Apprenez de moi"
    En prenant le joug, nous nous mettons à l'école du Seigneur en restant tout à côté de lui. C'est un véritable privilège d'apprendre de lui. Il est un maître, humble de cœur, se mettant au niveau de ses élèves. Il nous forme avec douceur.
    Si nous restons attachés à son joug, nous découvrirons que la charge que le Seigneur nous impose est plus légère parce qu'il la porte avec nous, et que la voie qu'il nous trace est la plus sûre, parce qu'il marche avec nous.

     
    Source (Plaire au Seigneur)


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  • Le don de grâce de Dieu, c'est la vie éternelle dans le Christ Jésus, notre Seigneur. Romains 6. 23

    Mieux vaut pour toi entrer dans la vie manchot ou estropié que d'avoir deux mains ou deux pieds et d'être jeté dans le feu éternel. Matthieu 18. 8

     

    "Le domaine d'un homme riche avait beaucoup rapporté ; et il calculait en lui-même, se disant : Que dois-je faire ? car je ne sais pas où amasser mes récoltes. Puis il dit : Voici ce que je ferai : j'abattrai mes greniers, j'en bâtirai de plus grands et j'y amasserai tous mes produits et mes biens ; et je dirai à mon âme : Mon âme, tu as beaucoup de biens en réserve pour beaucoup d'années ; repose-toi, mange, bois, fais bonne chère. Mais Dieu lui dit : Insensé ! Cette nuit même, ton âme te sera redemandée ; et ce que tu as préparé, qui l'aura ? Il en est ainsi de celui qui amasse des trésors pour lui-même, et qui n'est pas riche quant à Dieu" (Luc 12. 16-21).
    Mauvais choix ! Quel est le mien ?
    Le tort de cet homme n'était pas d'être riche, mais d'avoir négligé le salut de son âme et d'avoir donné la priorité à son confort – d'avoir limité sa vie à l'horizon de la terre. Il n'a pas pensé à Dieu, ou plutôt, il a écarté Dieu de sa pensée. La conséquence ? Il sera éternellement éloigné de ce Dieu qu'il a refusé d'écouter.
    Dieu est proche : il est venu jusqu'à moi en la personne de Jésus, son Fils, qui a souffert pour moi. Jésus m'a parlé du ciel ; plus que cela, il m'a ouvert le ciel. D'un côté, il y a les biens matériels, les plaisirs, le confort, et de l'autre la voix de Jésus qui m'appelle et m'offre le don de grâce de Dieu : "la vie éternelle dans le Christ Jésus". Si je lui réponds, si j'accepte ce don, je devrai peut-être abandonner tel ou tel avantage, être "amputé" de telle amitié… Mais Dieu m'aime, et me dit que cela vaut mieux !

     
    Source (La Bonne Semence)


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  • …afin que nous célébrions la gloire de sa grâce qu’il nous a accordée en son Fils bien-aimé. Éphésiens 1.12

     

    Ces jours-ci, les médias étalent le faste somptueux de la famille royale d’Angleterre… Je connais un roi dont la gloire et l’autorité sont sans égal. Pourtant, on le réduit généralement à un rôle aussi protocolaire que celui de la reine du Royaume-Uni. Vous avez compris que je parle de notre Créateur. Dieu communiquerait-il si mal ?
    C’est vrai, Dieu aurait pu se passer de l’aventure Terre : il avait les anges pour célébrer sa gloire !
    Il aurait pu créer les hommes programmés pour n’agir que pour le glorifier en paroles et en actes.
    Enfin, il aurait pu intervenir avec éclat chaque fois que les hommes le défient et bafouent sa gloire.
    Oui, Dieu aurait pu tout cela, mais il ne l’a pas fait, car il est Dieu, et non un homme. Il a choisi un chemin tellement humble pour se glorifier : le verset d’en-tête parle de la gloire de sa grâce ! C’est, en effet, en faisant grâce aux coupables que Dieu a voulu se glorifier, le Christ s’abaissant jusqu’à la mort sur la croix.
    Que dire de ces candidats potentiels à la grâce ?
    Eh bien, tous auraient dû découvrir la majesté de Dieu dans sa création, et lui rendre gloire. Tous auraient dû le rechercher de tout leur cœur, le connaître, l’aimer et le servir. Tous auraient dû se repentir de leurs péchés, implorer sa grâce.
    Et, saisis à la fois par la grâce et la gloire de leur Dieu… certains ont fini par le faire ! Je suis heureux d’en être. Et vous ?

    Claude Schneider

     
    Source (Vivre Aujourd'hui)


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  • "Jésus se retourna et vit qu'ils le suivaient ; il leur dit : Que cherchez-vous ? Ils allèrent donc et virent où il demeurait ; et ils demeurèrent auprès de lui ce jour-là ; c'était environs la dixième heure." Jean 1. 38, 39

     

    André et son compagnon sont disciples de Jean-Baptiste. En voyant l'Esprit descendre comme une colombe sur Jésus, Jean rend ce témoignage : "Celui-ci est le Fils de Dieu". Le lendemain, Jean, accompagné de ses deux disciples, voit Jésus marcher et déclare : "Voilà l'Agneau de Dieu" (Jean 1. 36).
    L'exclamation de Jean-Baptiste au sujet de Jésus, deux de ses disciples l'entendent. Elle les pousse à suivre celui dont la marche témoigne de la vérité. Jamais indifférent à l'égard de quiconque s'attache à lui, Jésus se retourne et pose à ces deux hommes une des questions fondamentales de l'existence : "Que cherchez-vous ?" Que désirez-vous, quel est votre but dans la vie ? Incapable peut-être de démêler les sentiments qui les animent, ils demandent modestement : "Où demeures-tu ?" Par cette question, ils indiquent qu'ils désirent un entretient intime dans un endroit tranquille pour mieux connaître celui que Jean a désigné comme l'Agneau de Dieu.
    À leur question : "Où demeures-tu ?", Jésus ne les repousse pas, il les invite : "Venez et voyez". "Ils allèrent donc et virent où il demeurait ; et ils demeurèrent auprès de lui ce jour-là". D'après la manière romaine de compter les heures, il était 10 heures du matin. Jean mentionne l'heure précise, probablement pour signaler qu'il était lui-même le compagnon d'André, mais aussi parce qu'elle fut une heure décisive pour le reste de sa vie.
    "Que cherchez-vous ?" est toujours d'actualité. Quel est notre plus ardent désir ? N'est-ce pas d'être en contact avec Jésus, de jouir de sa compagnie, de mieux le connaître ? Personne, animé du désir réel de mieux connaître le Seigneur, ne suit Jésus en vain. Aujourd'hui, comme André et son compagnon, nous pouvons rencontrer Jésus et demeurer dans son intimité par l'Esprit Saint qui habite en nous. Il nous fera connaître tout ce qui concerne Jésus. Toute la Bible rend témoignage de Christ (Jean 5. 39).
    Cette intimité ne se limite pas à un moment de quelques heures : elle peut devenir notre part quotidienne et se renouveler chaque jour de notre vie.

     
    Source (Plaire au Seigneur)


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  • Il y a telle voie qui semble droite à un homme, mais des voies de mort en sont la fin. Proverbes 16. 25

    Comment un jeune homme rendra-t-il pur sa voie ? Ce sera en y prenant garde selon ta Parole. Psaume 119. 9

     

    Dieu ordonne au prophète Jonas d'aller à Ninive, mais cet ordre lui déplaît. Il décide de partir à l'opposé. Au port, il trouve justement un navire en partance pour Tarsis. Tout s'arrange bien, et Jonas désobéit à Dieu !
    L'apôtre Paul est en route pour Rome. Le temps rend la navigation périlleuse et Paul avertit les marins, de la part de Dieu, de ne pas se remettre en route. Mais un doux vent du midi se met à souffler. Tout s'arrange bien, et les marins, négligeant l'avertissement, lèvent l'ancre. Une violente tempête se lève peu après, donnant raison à Paul. Ils font naufrage (Actes 27).
    On pourrait multiplier les exemples où des circonstances semblent favorables à un projet, mais conduisent en fait sur un chemin que Dieu désapprouve. Combien plus quand on n'a pas la foi ! La trahison de Judas en est un exemple solennel : il trouve l'occasion favorable qu'il cherchait, et il livre son Maître (Luc 22. 6 ; Marc 14. 11).
    Dieu peut se servir des circonstances pour conduire les siens. Mais c'est avant tout par sa Parole qu'il nous indique sa volonté. Si les événements risquent de mener dans un chemin contraire à la Parole de Dieu, prenons garde! Dieu ne se contredit jamais. Mais Satan sait tirer parti des diverses situations pour nous entraîner à désobéir. Et nous sommes prompts à interpréter celles-ci dans le sens qui nous arrange. Il persuadera par exemple un jeune chrétien qu'il peut épouser une jeune fille incroyante, alors que Dieu affirme le contraire (2 Corinthiens 6. 14). Tout s'arrange bien ? Oui, mais que dit la Parole de Dieu ?

     
    Source (La Bonne Semence)


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