• Dieu dit : Où étais-tu quand je posai les fondations du monde ? Déclare-le, puisque ta science est si profonde ! Job 38.4

     

    La science et la foi sont deux domaines différents : la science ne peut évaluer la révélation de Dieu, et la foi biblique ne va pas contredire les données sûres de la science. L’académicien Jean d’Ormesson écrit : « Dieu n’a que faire de preuves : il les laisse aux savants et aux philosophes. Dieu n’est pas une expérience de physique : il ne cherche pas à s’imposer de façon décisive. Dieu n’est pas une équation : il fuirait plutôt l’évidence. Dieu n’est pas un politicien : il ne tente pas de se faire élire à coups de promesses et d’arguments. L’ambition de Dieu n’est pas d’être irréfutable. S’il existe, il lui suffit d’une seule chose : il lui suffit d’être – et c’est assez. » (C’est une chose étrange à la fin que le monde, p 213-214)
    Mais pour le romancier, « Dieu est une idée pure dans un autre monde que le nôtre. Il est tension. Il est espérance. Il est un rêve infini. » (C’est une chose étrange à la fin que le monde, p 213-214)
    La Bible nous offre mieux qu’une idée ou une croyance. Il me semble que des évidences sérieuses sont à notre disposition. Car, si Dieu est « un Dieu qui se cache » (Ésaïe 45.15), comme le dit aussi d’Ormesson, il n’en est pas moins un Dieu qui se révèle et agit, car il nous aime. Et de cela, l’écrivain n’en parle pas.
    Pour conclure, la science des hommes se trouve quand même bousculée par les miracles incontestables que le Christ opère encore aujourd’hui. Et, en particulier, par les vies transformées par l’Évangile !

    Claude Schneider

     
    Source (Vivre Aujourd'hui)


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  • "Celui qui habite dans la demeure secrète du Très-haut logera à l'ombre du Tout-puissant. J'ai dit de l'Éternel : Il est ma confiance et mon Dieu fort ; il est mon Dieu, je me confierai en lui." Psaume 91. 1, 2

     

    Les enfants ont parfois des lieux secrets, des cachettes, où ils se retirent et s'isolent du monde des adultes, où ils cachent leurs << trésors >>. Ce sont pour eux des lieux de refuges. La nuit, quad ils ont peur, ils se mettent la tête sous les couvertures, c'est aussi un lieu secret de refuge. Plus tard, devenus adultes, ils peuvent avoir d'autres lieux où ils se réfugient ; pour certains, c'est l'alcool, la drogue, le jeu, la télévision à outrance... Ce sont pour eux des demeures secrètes où ils pensent pouvoir oublier la réalité des choses !
    Le croyants, lui, a une autre demeure secrète : la présence de son Dieu ! (le terme "demeure secrète", séther en hébreu, désigne u endroit où l'on est caché à tous les regards). Quand le croyant a des problèmes, quand il connaît le trouble, il a un abri à l'ombre protectrice du Tout-puissant. C'est le lieu où il vient chercher du réconfort s'il se sent maltraité ou incompris, quand il passe par la maladie ou par toute souffrance physique ou morale.
    Mais Dieu ne veut pas que cette demeure secrète soit seulement le lieu où l'ont court quand les difficultés se font pressante ; son désir est que le croyant y vive en permanence. Il connaît chacun de ses enfants intimement et veut être pour chacun un havre de paix et de sécurité. Dieu peut être contacté à tout instant ; le croyant n'a pas avec lui des rendez-vous à dates et heures fixes, mais demeurant en permanence dans sa présence, il est en rapport constant avec lui.
    Une demeure est, selon la définition, un domicile, un lieu où l'on habite, où l'on séjourne. Si nous vivons constamment dans "la demeure secrète du Très-haut", les épreuves pourront quand même nous atteindre. Nous n'aurons pas à courir nous réfugier à l'ombre du Tout-puissant, puisque nous y sommes déjà ! Apprécions la faveur de vivre avec Christ, en Christ, et reposons-nous sur lui en toutes circonstances, il est notre demeure secrète de paix et de sécurité.
    Encourageons-nous les uns les autres à habiter en permanence la demeure secrète du Très-haut sous la protection personnelle du Tout-puissant !

     
    Source (Plaire au Seigneur)


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  • Qui croit au Fils (de Dieu) a la vie éternelle ; mais qui désobéit au Fils ne verra pas la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui. Jean 3. 36

     

    Si nos aptitudes personnelles pouvaient nous donner accès au ciel, Dieu n'aurait pas dit : "Il n'y a pas de juste, non pas même un seul ; il n'y a personne qui ait de l'intelligence,… il n'y en a aucun qui pratique la bonté" (Romains 3. 10-12).
    Si nous pouvions acquérir le salut éternel par nos bonnes œuvres, Dieu n'aurait pas dit : "C'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi… non pas sur la base des œuvres, afin que personne ne se glorifie" (Éphésiens 2. 8, 9).
    Si nous pouvions être sauvés en respectant les dix commandements, Dieu n'aurait pas dit : "Personne ne sera justifié devant lui par des œuvres de loi" (Romains 3. 20).
    Il est impossible d'acheter le salut de notre âme. Dieu nous dit : "Vous avez été rachetés… non par… de l'argent ou de l'or, mais par le sang précieux de Christ" (1 Pierre 1. 18, 19).
    Si nous pouvions espérer nous améliorer par nos efforts personnels, Dieu n'aurait pas dit : "Le cœur est trompeur par-dessus tout, et incurable" (Jérémie 17. 9).
    Si notre salut dépendait de nous-mêmes, le Seigneur Jésus, lorsque ses disciples lui ont demandé : "Et qui peut être sauvé ?" ne leur aurait pas répondu : "Pour les hommes, cela est impossible, mais non pas pour Dieu ; car tout est possible pour Dieu" (Marc 10. 26, 27).
    Tous les croyants qui ont mis leur confiance en Jésus Christ sont "justifiés gratuitement par sa grâce, par la rédemption qui est dans le Christ Jésus" (Romains 3. 24).
    C'est bien Dieu qui a raison. Pourquoi ne pas être d'accord avec lui ?

     
    Source (La Bonne Semence)


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  • Venez et plaidons ! dit l’Éternel, si vos péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige ; s’ils sont rouges comme la pourpre, ils deviendront comme la laine. Ésaïe 1.18

     

    Sur le mur des toilettes de notre entreprise, cette inscription crie la révolte. Un cri de désespérance ? L’ouvrier qui l’a écrite y exprime que sa vie est loin d’être enviable au quotidien.
    Aujourd’hui, que de gens insatisfaits, qui estiment qu’ils méritent mieux, que la vie est injuste !… Même parmi ceux qui sont aisés, nombreux sont les désabusés, les stressés et même des suicidaires.
    Où est le vrai bonheur ? Que faut-il faire pour vivre mieux ?
    Les uns militent pour une meilleure répartition des biens. C’est vrai, les richesses de la terre sont suffisantes pour nourrir les 6 milliards et demi de terriens que nous sommes. Alors il faut mettre un terme au fait que 30 % des quantités de nourriture partent à la poubelle quand 900 millions de personnes n’ont pas à manger correctement.
    D’autres veulent faire cesser le règne de l’injustice et des égoïsmes, et la mauvaise gestion des gouvernants…
    Mais cela changera-t-il le cœur humain ?
    Seule la Bible apporte la réponse à la situation. Dieu nous dit que l’avenir de l’homme est dans le retour vers Lui, et dans son projet pour nous.
    Et cela suppose l’aveu de nos fautes et la foi en Jésus-Christ qui nous feront acquérir le pardon et la vie éternelle.

    Bernard Doise

     
    Source (Vivre Aujourd'hui)


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  • "Après cela Jésus, sachant que tout était déjà accompli, dit - afin que l'Écriture soit accomplie : J'ai soif." Jean 19. 28

     

    Arrivé à Golgotha, on offrit à Jésus du vinaigre mêlé de fiel en guise de narcotique et en accomplissement du Ps. 69. 21, "mais quand il l'eut goûté, il ne voulu pas boire" (Matt. 27. 34). Il était nécessaire pour lui de boire jusqu'au fond la coupe de douleur (26. 39), de porter la pleine charge des péchés des hommes sans diminution ou affaiblissement de ses sens, sans adoucissement de sa souffrance. Alors ils le crucifièrent.
    Sur la croix, Jésus prit la parole à sept reprises, pleinement conscient que de multiples prophéties s'accomplissent.
    Les ténèbres viennent de se dissiper lorsque le Seigneur le Seigneur Jésus prononce la cinquième parole : "J'ai soif". Seul l'apôtre Jean la rapporte. Dans son évangile, où brille le caractère divin de Christ, n'est-il pas surprenant d'entendre une parole qui exprime si simplement le besoin vital d'un être humain à la limite de sa résistance physique ? Tout en étant le Créateur des cieux et de la terre, le Fils de Dieu, Dieu lui-même, le Seigneur Jésus est en même temps un homme.
    Bien qu'il garde la force de celui qui donne sa vie de lui-même, le Seigneur souffre énormément de la soif, sa langue colle au palais selon la parole prophétique : "Ma langue est attachée à mon palais" (Ps. 22. 15).
    Sachant que toutes les prophéties étaient accomplies, Jésus dit : "J'ai soif".
    S'il consent alors à ce que ses bourreaux pressent une éponge imbibée de vinaigre sur ses lèvres, c'est pour pouvoir faire entendre clairement à nos oreilles cette parole de victoire que lui seul pouvait prononcer : "C'est accompli" (Jean 19. 30).
    Le Seigneur a ressenti toute la sécheresse d'un monde ennemi. Le créateur de la pluie, des sources d'eau, a connu une soif intense sur la croix.
    À la croix, il a aussi mesuré l'immense sécheresse spirituelle de cette terre polluée par le péché. Mais il est devenu pour les siens une source intarissable de grâce et de bénédiction. Christ crucifié et ressuscité, est une fontaine de vie qui désaltère ceux qui mettent leur confiance en lui, car : "Celui qui croit en moi n'aura jamais soif" (Jean 6. 35) ; "Que celui qui a soif vienne ; que celui qui veut prennent gratuitement de l'eau de la vie" (Apoc. 22. 17).

     
    Source (Plaire au Seigneur)


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