• La cigogne dans les cieux connaît sa saison ; et la tourterelle, et l'hirondelle, et la grue, prennent garde au temps où elles doivent venir. Jérémie 8. 7

    Qui a dirigé l'Esprit de l'Éternel,... lui a enseigné la connaissance et lui a fait connaître le chemin de l'intelligence ? Ésaïe 40. 13, 14

     

    Quelle agitation dans le monde des hirondelles en cette fin d'été! Rassemblées sur les fils électriques, elles se préparent à un grand voyage : destination l'Afrique, où elles trouveront à profusion des insectes volants pour se nourrir. Mais quel défi pour ces oiseaux de 20 grammes à peine de parcourir parfois jusqu'à 10 000 kilomètres! Et qui va leur donner le signal du départ ? "Le déclenchement de la migration répond à des mécanismes complexes qui ne sont pas encore éclaircis." Tel est le constat des observateurs, malgré leurs techniques sans cesse en progrès. La question reste donc sans réponse.
    Dans la Bible, Dieu interpelle Job par une question similaire (Job 39. 29): "Est-ce grâce à ton intelligence que l'épervier (autre oiseau migrateur) prend son vol et déploie ses ailes en direction du sud ?" (lorsque vient le moment de migrer).
    À ce moment-là, Job était plongé dans une grande détresse, il avait posé à Dieu de multiples questions. Sans lui répondre directement, Dieu attire son attention sur quelques particularités admirables du règne animal (Job 39). Il lui fait "toucher du doigt" Sa puissance, Sa souveraineté ; il lui montre les soins du Dieu créateur envers ses créatures. Job s'incline. Humblement, il reconnaît ses propres limites : "Je suis une créature de rien".
    Aujourd'hui encore, des hommes et des femmes cherchent des preuves de l'existence de Dieu. La nature, avec tous les mystères et les merveilles qu'elle recèle, n'est-elle pas une réponse pour qui veut l'entendre ?

     
    Source (La Bonne Semence)


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  • Soyez sans reproche et purs, des enfants de Dieu irrépréhensibles, au milieu d'une génération dévoyée et pervertie, parmi laquelle vous brillez comme des luminaires dans le monde, présentant la parole de vie. Philippiens 2. 15, 16

     

    Notre monde va de crise en crise. À peine le bout d'un tunnel est-il en vue qu'on en annonce d'autres : épidémies, déplacements massifs de populations, montée des océans, réchauffement climatique… La Bible nous apprend que le chef de ce monde a pour nom "Satan" (Jean 12. 31). Quoi de surprenant alors si ce "chef", invisible mais bien réel, influence habilement les gouvernants, conseillers et médias pour leur donner à penser que tous les problèmes sont d'ordre matériel. L'attention générale est ainsi focalisée sur ces sujets et détournée de ce qui est bien plus important et grave, la crise morale de l'humanité.
    Le chrétien ne se renseigne pas que par les médias, il tient ses informations de la Bible. Elle l'informe sur l'origine, la cause et les conséquences de cette crise morale. À l'origine, il y a le cœur de l'homme qui a abandonné Dieu et méprisé les institutions divines. En conséquence, pour des multitudes il n'y a plus ni bien ni mal, et chacun est libre de se faire sa propre échelle de valeurs. Cette attitude montre l'orgueil et la présomption du cœur humain, qui datent de l'entrée du péché dans le monde (Romains 5. 12). Si les ténèbres morales se développent dans notre société, le rôle du chrétien reste toujours de briller comme une lampe, en vivant dans ce monde ce que la Parole de Dieu lui enseigne (voir verset du jour). Et, même si Satan, le dieu de ce monde, cherche à aveugler nos pensées, l'évangile de la grâce de Dieu invite encore chacun à venir vers Jésus le Sauveur.

     
    Source (La Bonne Semence)


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  • Le Dieu d'éternité, l'Éternel, créateur des bouts de la terre, ne se lasse pas et ne se fatigue pas. On ne sonde pas son intelligence. Ésaïe 40. 28

    Il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et envoie sa pluie sur les justes et sur les injustes. Matthieu 5. 45

     

    Dieu n'est pas la nature. Dieu n'est pas la destinée. Dieu n'est pas la providence.
    Dieu est le Créateur de toutes choses, et toutes lui obéissent, le servent (Psaume 119. 91). Il décide de tout. Nous devons accepter de ne pas comprendre, car nous sommes des créatures limitées, alors que Dieu est infini et éternel. Il règne sur l'univers entier en dirigeant tout selon sa volonté parfaite. Dieu serait-il, de ce fait, également responsable de toute l'injustice dans le monde, de toutes les catastrophes ? Non, les injustices résultent du fait que nous n'obéissons pas aux sages commandements que Dieu a placés dans la Bible. Il dit par exemple : "Tu aimeras ton prochain comme toi-même" (Lévitique 19. 18). "Aimez vos ennemis, et priez pour ceux qui vous persécutent" (Matthieu 5. 44). Le monde ne serait pas injuste si l'homme obéissait aux instructions divines, mais il ne le peut pas !
    Quant aux catastrophes naturelles, nous en ressentons toute la tristesse, et nous pouvons les percevoir comme des avertissements. Jésus dit : "Ces dix-huit (hommes) sur qui tomba la tour à Siloé, et qu'elle tua, croyez-vous qu'ils étaient plus coupables que tous les habitants de Jérusalem ? Non, vous dis-je ; mais si vous ne vous repentez pas, vous périrez tous pareillement" (Luc 13. 4, 5).
    Dieu est tout-puissant, souverain, mais il est aussi amour. Alors n'accusons pas Dieu, inclinons-nous plutôt devant lui, recevons son message : "Venez à moi" (Matthieu 11. 28). Approchons-nous de Jésus, qui a côtoyé et soulagé tant de souffrances.

     
    Source (La Bonne Semence)


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  • Seigneur, auprès de qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle. Jean 6. 68

    Le connaître, lui et la puissance de sa résurrection, et la communion de ses souffrances. Philippiens 3. 10

     

    Lorsque j'étais adolescente, j'ai rencontré un responsable d'église qui connaissait bien la Bible. Mais elle n'était pour lui qu'un document culturel. Lorsqu'on l'interrogeait sur Jésus, il pouvait expliquer que Jésus était né à Bethléem, qu'il avait grandi à Nazareth, qu'il était mort à Jérusalem, mais il ne connaissait pas vraiment Jésus, pas plus qu'il ne discernait les implications d'une vie consacrée au Christ. Son cas est loin d'être unique. On compte beaucoup d'hommes ou de femmes religieux qui ne cessent d'approfondir leurs connaissances sur la Bible, mais s'éloignent toujours plus de la foi.
    Connaître Jésus dépasse largement le fait de connaître la Bible. Connaître Jésus, c'est d'abord croire en lui, reconnaître qu'il est Dieu, le Fils de Dieu devenu homme. C'est aussi croire qu'il est mort à notre place, mais qu'il est maintenant vivant auprès de Dieu. Cette foi initiale nous permet d'être en relation avec lui.
    Comme toute relation, celle que nous avons avec Jésus doit être cultivée, ce qui exige de passer du temps avec lui, en le priant et en lisant la Bible, non comme un objet d'étude intellectuelle, mais comme une parole vivante donnée par Dieu. La Bible nous aide à mieux connaître notre Sauveur, à mieux l'aimer. Dieu nous a appelés à vivre en communion avec son Fils, notre Seigneur Jésus Christ (1 Corinthiens 1. 9). Vivre dans sa communion, c'est croire en son amour, et désirer "lui plaire à tous égards" (Colossiens 1. 10). C'est chercher à le connaître toujours mieux comme un Sauveur vivant.

     
    Source (La Bonne Semence)


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  • Si nous confessons nos péchés, [Dieu] est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés et nous purifier de toute iniquité. 1 Jean 1. 9

    On ne se moque pas de Dieu ; car ce qu'un homme sème, cela aussi il le moissonnera. Galates 6. 7

     

    Robert vivait à la campagne dans une ferme. Son père, chrétien convaincu, aimait beaucoup son fils, qui n'était pas croyant. Il souhaitait profondément que Robert se tourne vers le Seigneur. Il avait pris pour habitude d'enfoncer un clou dans la porte de la grange chaque fois que son fils, bien souvent insoumis, lui désobéissait.
    – Que fais-tu ? lui demanda un jour Robert, intrigué par les coups de marteau.
    – Je plante un clou chaque fois que tu me désobéis.
    Travaillé dans sa conscience, l'adolescent confessa ses fautes au Seigneur et le reçut comme son Sauveur. Heureux d'avoir ainsi obtenu le pardon de Dieu, il raconta sa conversion à son père qui se mit aussitôt à enlever un à un les clous de la porte de la grange. Mais les trous restaient visibles et dérangeaient Robert en lui rappelant ses fautes passées.
    – Comment allons-nous faire pour reboucher tous ces trous ? demanda-t-il.
    – Ces trous, vois-tu, ce sont les conséquences de tes désobéissances. Si Dieu a pardonné entièrement les fautes du roi David quand il les lui a confessées, quelquefois il en a effacé complètement les conséquences (1 Samuel 30. 19), quelquefois il ne les a pas enlevées (Psaume 51). Pour nous, il en est de même, mais le Seigneur, qui nous a pardonné, est fidèle. Il peut les enlever, ou nous aider à les supporter et s'en servir aussi pour nous faire du bien.

     
    Source (La Bonne Semence)


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